Comment référencer ses images ? La checklist SEO ! [SEO Summer Reload #10]

Cet été, on révise les classiques du SEO ! Abondance vous a préparé une série de 10 checklists pour évaluer vos pratiques et voir si vous n’oubliez rien. Pour ce dernier épisode, on termine avec le référencement (et l’optimisation) des images ! Enfilez vos tongs, c’est le SEO Summer Reload

Comment ça marche ?

Cochez les cases des actions que vous réalisez (réellement).
Découvrez votre score final !
Accédez à des ressources pour réviser les concepts abordés.

1. Audit initial

Vérifier l’indexation des images dans Google Search Console (rapport “Performances” puis filtrer le “Type de recherche” sur “Image”.).

Analyser la SERP : vos principaux mots-clés font-ils apparaitre des carrousels d’images ? Les snippets sont-ils accompagnés d’une image sur mobile ou desktop ?

Vérifier la cohérence des URLs des images (les images doivent conserver la même URL, éviter la régénération dynamique ou les changements inutiles).

Ressources :

Etude de cas Foot Locker : +228% de trafic grâce aux miniatures d’images [Article]

N’utilisez pas plusieurs URLs pour une seule image [Goossip]

2. Structuration & balises

Ajouter un texte alternatif pertinent (balise alt) pour chaque image : description claire, concise, intégrant éventuellement un mot-clé principal, mais sans suroptimisation.

Utiliser des titres et légendes descriptives lorsque c’est pertinent (utile pour l’expérience utilisateur et le SEO).

Employer un nom de fichier explicite (ex. chaussures-running-nike-air.jpg plutôt que IMG_1234.jpg).

Ressources :

Qu’est-ce que l’attribut alt et comment l’optimiser ? [Guide]

3. Données structurées & contexte sémantique

Ajouter des données structurées (schema.org/ImageObject) pour les images importantes (produits, recettes, vidéos illustrées).

Associer les images à un texte de contexte riche et pertinent (Google analyse le contenu autour de l’image pour la comprendre).

Ressources :

A quoi servent les données structurées et comment les utiliser ? [Guide]

4. Performance

Compresser les images avant l’upload (idéalement ≤ 100 Ko pour les petites, ≤ 500 Ko pour les grandes).

Définir correctement les attributs width et height pour éviter les CLS (sauts de mise en page).

Utiliser des formats modernes comme WebP ou AVIF (si supportés).

Activer le lazy loading (loading=”lazy”) pour les images en dessous de la ligne de flottaison.

Vérifier que les images s’affichent rapidement et sans ralentir la page (impact sur Core Web Vitals et SEO).

Utiliser un CDN pour accélérer la livraison des images si le site a une audience internationale.

Ressources :

Qu’est-ce qu’un format d’image et comment bien le choisir ? [Guide]

Qu’est-ce que le format WebP ? [Guide]

Images AVIF : Google adopte ce format d’image UX-friendly ! [Article]

5. Indexation, accessibilité & UX

Utiliser des sitemaps d’images pour aider Google à découvrir toutes les images importantes.

Vérifier que les images essentielles (produits, visuels explicatifs) sont accessibles sans JavaScript.

Ne pas mettre de texte important uniquement dans une image (préférer du texte HTML + image décorative).

Éviter les images trop petites ou floues (Google privilégie les images nettes et en haute résolution adaptées au device).

Combien de cases avez-vous coché ?

0 / 18

De 0 à 8 : c’est un début ! Consultez les ressources ci-dessous et dans l’article pour en découvrir plus
De 10 à 14 : pas mal ! Vous pouvez aller plus loin pour passer devant vos concurrents !
Plus de 15 : bien joué, vous êtes au top !