Je suis autodidacte, et j’ai souvent été méprisé. Voilà pourquoi je me suis passionné pour l’IA générative.
Apprendre par soi-même est une force, mais le scepticisme des experts peut être un frein.
La route de l’autodidacte est semée d’embûches et de mépris, je l’ai vécu.
Mes débuts dans le journalisme alors que je n’avais pas les moyens d’intégrer une école, en sont la preuve vivante.
Malgré les critiques, j’ai progressé, apprenant sur le tas et m’adaptant grâce à l’observation et à l’erreur.
Apres des années d’audace et d’embûches, j’ai fini par conseiller des grands groupe de presse, créer des médias numériques et même écrire un livre.
A mes débuts, je n’avais pas la chance d’avoir des outils d’IA à disposition.
Mais l’accès à Internet était déjà un levier d’émancipation pour rencontrer de nouvelles personnes et apprendre sur le tas.
Aujourd’hui, les outils d’IA sont de nouveaux leviers d’émancipation.
A condition de ne pas se tromper sur leur usage.
Ces outils ne sont pas un substitut à l’expertise, mais un tremplin vers l’acquisition de compétences nouvelles, pour ceux qui osent apprendre différemment.
J’entends souvent dire que l’IA nous pousse au moindre effort, mais toute personne qui a joué avec ces outils sait que leur maitrise demande beaucoup d’essais et d’erreurs.
Loin de simplement “appuyer sur un bouton”, utiliser l’IA générative demande une interaction réfléchie, une volonté d’apprendre et d’expérimenter.
J’ai appris à développer mon entreprise, à faire des formations, à générer des pages de vente, des publicités, des illustrations.
Mes débuts étaient risibles, mais j’ai encaissé les critiques et j’ai appris.
Ce que je sais, c’est que, sans ces outils, je ne me serais jamais lancé.
J’ai appris de mes erreurs, je me suis documenté, et amélioré.
On n’apprend jamais mieux qu’en essayant.
Quand on démarre une nouvelle activité, on n’a pas forcément les moyens de se faire accompagner par des experts. On n’a souvent pas d’autre choix que de prendre la voie de l’autodidaxie.
Aujourd’hui l’IA générative me permet de tester, d’apprendre et de m’améliorer rapidement sur des domaines que je ne maitrisais pas auparavant.
Aujourd’hui, il faut s’adapter et apprendre en continu.
Je ne suis ni pour ni contre la technologie. L’IA générative ouvre des tas de débats passionnants et il faut l’aborder avec un regard critique. Je le fais tous les jours.
Bien sûr, elle ne remplace pas l’expert.
En revanche, elle peut devenir un catalyseur d’expertise pour qui sait s’en saisir et ne ménage pas ses efforts.
On fantasme beaucoup sur l’IA, on en oublie sa valeur d’usage concrète.
Elle est là, non pour remplacer l’humain, mais pour amplifier ses capacités d’apprentissage et d’innovation.
Elle est imparfaite, mais offre à l’autodidacte une palette d’outils pour expérimenter, se tromper, et finalement, peut-être, réussir.
Le meilleur expert, c’est la personne qui apprend.